- EAN13
- 9782262025267
- ISBN
- 978-2-262-02526-7
- Éditeur
- Perrin
- Date de publication
- 07/09/2006
- Nombre de pages
- 428
- Dimensions
- 22,6 x 14,2 x 3,6 cm
- Poids
- 550 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 940.412
- Fiches UNIMARC
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Un florilège de lettres envoyées par les poilus durant les dix mois qu'aura duré l'"enfer de Verdun", du 3 février au 18 décembre 1916. Souvent émouvant, tendre, bouleversant, le livre forme au final un véritable requiem pour la paix.
Du 21 février au 18 décembre 1916, ce fut l' " enfer de Verdun ". Au jour le jour, durant ces dix longs mois, les combattants ont écrit à leur famille ou à leurs proches, et leurs lettres révèlent en direct la tragédie de cet événement. Jean-Pierre Guéno en a réuni un florilège, qui témoigne de l'endurance de ces hommes à la boue des tranchées, à la faim, à la soif, au désespoir, et à l'incompétence des élites militaires, celle de Joffre par exemple, qui fit désarmer les forts de la ville six mois avant la ruée allemande. " Verdun " est une bataille à somme nulle: 301 jours d'affrontements sévères pour, au final, raccompagner les Allemands à la case départ, laissant la Meuse tel un immense champ voué au carnage jusqu'en novembre 1918. Restent l'humanisme, la formidable bravoure des poilus, à la fois victimes et héros.
Du 21 février au 18 décembre 1916, ce fut l' " enfer de Verdun ". Au jour le jour, durant ces dix longs mois, les combattants ont écrit à leur famille ou à leurs proches, et leurs lettres révèlent en direct la tragédie de cet événement. Jean-Pierre Guéno en a réuni un florilège, qui témoigne de l'endurance de ces hommes à la boue des tranchées, à la faim, à la soif, au désespoir, et à l'incompétence des élites militaires, celle de Joffre par exemple, qui fit désarmer les forts de la ville six mois avant la ruée allemande. " Verdun " est une bataille à somme nulle: 301 jours d'affrontements sévères pour, au final, raccompagner les Allemands à la case départ, laissant la Meuse tel un immense champ voué au carnage jusqu'en novembre 1918. Restent l'humanisme, la formidable bravoure des poilus, à la fois victimes et héros.
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