- EAN13
- 9782226459954
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 03/02/2021
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 19,90
Cybèle, Nora, Rome, Vivi : quatre femmes, quatre histoires qui représentent
chacune une forme de résistance. À la guerre, au fascisme, à la mort, à
l’oubli. Quatre roses noires qui n’ont pour arme que leur courage, leur
détermination et leur force d’aimer. Ce sont elles les véritables héroïnes de
cette dystopie. Entraînant dans leur sillage Orden, un poète réfractaire,
poursuivi par la milice armée à la solde de l’ordre nouveau qui gouverne le
pays, elles sont les fers de lance d’un réseau de résistance qui prépare une
insurrection.
Dans ce roman politique, engagé, Gérard Mordillat, l’auteur de La Tour abolie
et La Brigade du rire, nous parle de la France d’aujourd’hui et d’un monde qui
est presque déjà le nôtre : celui de la confiscation des outils démocratiques,
de la carte blanche laissée à la police, de la surveillance généralisée, de
l’ambiance insurrectionnelle qui ne cesse de croître. L’écrivain des Vivants
et les morts va droit au but : « Ce livre d’urgence, il faut le lire comme on
boit un alcool fort ! »
chacune une forme de résistance. À la guerre, au fascisme, à la mort, à
l’oubli. Quatre roses noires qui n’ont pour arme que leur courage, leur
détermination et leur force d’aimer. Ce sont elles les véritables héroïnes de
cette dystopie. Entraînant dans leur sillage Orden, un poète réfractaire,
poursuivi par la milice armée à la solde de l’ordre nouveau qui gouverne le
pays, elles sont les fers de lance d’un réseau de résistance qui prépare une
insurrection.
Dans ce roman politique, engagé, Gérard Mordillat, l’auteur de La Tour abolie
et La Brigade du rire, nous parle de la France d’aujourd’hui et d’un monde qui
est presque déjà le nôtre : celui de la confiscation des outils démocratiques,
de la carte blanche laissée à la police, de la surveillance généralisée, de
l’ambiance insurrectionnelle qui ne cesse de croître. L’écrivain des Vivants
et les morts va droit au but : « Ce livre d’urgence, il faut le lire comme on
boit un alcool fort ! »
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