- EAN13
- 9782081349650
- Éditeur
- Arthaud
- Date de publication
- 10/2014
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Arthaud 15,00
Vivent les mangeurs d’hommes ! Requins, loups, ours, lions, crocodiles,
piranhas… ces créatures à la fois haïes et admirées, belles ou étonnantes,
parfois dangereuses pour l’homme sont pour la plupart en voie d’extinction.
Notre espèce – qui a dépassé les sept milliards – se juge « menacée » par le
tigre (moins de trois mille sujets) ou le requin blanc (à peine plus)… Et
pourtant, l’ennemi du berger en France n’est pas le loup, mais l’éleveur de
moutons d’Australie ou de Nouvelle-Zélande : trop facile, pour le politicien,
d’accuser le prédateur. Le requin, réputé mangeur d’hommes, tue moins de dix
humains chaque année, quand les hommes pêchent dans le même temps, cent
millions de squales... Dans cet essai teinté d’humour noir, Yves Paccalet ne
milite pas seulement pour ces créatures magnifiques mais aussi pour la
préservation des mythes et des légendes qu’elles ont inspirés. En perdant ces
espèces, nous perdrions, en vérité, des pans entiers de notre histoire et de
notre culture, c’est-à-dire de notre humanité même…
piranhas… ces créatures à la fois haïes et admirées, belles ou étonnantes,
parfois dangereuses pour l’homme sont pour la plupart en voie d’extinction.
Notre espèce – qui a dépassé les sept milliards – se juge « menacée » par le
tigre (moins de trois mille sujets) ou le requin blanc (à peine plus)… Et
pourtant, l’ennemi du berger en France n’est pas le loup, mais l’éleveur de
moutons d’Australie ou de Nouvelle-Zélande : trop facile, pour le politicien,
d’accuser le prédateur. Le requin, réputé mangeur d’hommes, tue moins de dix
humains chaque année, quand les hommes pêchent dans le même temps, cent
millions de squales... Dans cet essai teinté d’humour noir, Yves Paccalet ne
milite pas seulement pour ces créatures magnifiques mais aussi pour la
préservation des mythes et des légendes qu’elles ont inspirés. En perdant ces
espèces, nous perdrions, en vérité, des pans entiers de notre histoire et de
notre culture, c’est-à-dire de notre humanité même…
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