La Librairie des Chats noirs
De Piergiorgio Pulixi
Traduit par Anatole Pons-Reumaux
Éditions Gallmeister
Miaou !
Pas tous les jours facile d'être libraire !
Il faut dire que vivre sous le regard constant de Miss Marple et de Mr Poirot, c'est quelque chose..
Mais non bien sûr, pas les personnages de fiction, nous parlons bien des deux félins de la Librairie des Chats Noirs !
Les chats sont comme les clients : ils ne veulent que le meilleur. De quoi bien rythmer les journées de Marzio Montecristo qui s’attend à chaque seconde que les étagères de la librairie lui tombent dessus sous le poids du destin. Pessimiste, monsieur Montecristo, ou juste bougon ? La nuance est subtile…
Sa mauvaise humeur va pouvoir trouver une échappatoire lorsque ses talents de libraire spécialisé en polars sont sollicités par la police. Heureusement, Marzio Montecristo pourra également compter sur l’aide précieuse de son club de lecture aux membres tous plus…hum…allumés ?... les uns que les autres.
Dans ce nouveau thriller, Piergiorgio Pulixi oscille entre la tendresse envers ce héros au caractère bien trempé et l’horreur des meurtres qu’il lui faut résoudre. Un polar qui possède tous les meilleurs ingrédients : du suspens, de l’émotion, une légère dose de frisson et…des chats !
le pouvoir des mots
Chaque jour, Kokoro s’enferme dans sa chambre pour ne plus être blessée par le monde extérieur.
Sa chambre, elle ne veut plus en sortir et retourner au collège lui est impossible. Pourtant, Kokoro n’est qu’en sixième, elle devrait suivre les cours avec ses amies, papoter, participer aux clubs scolaires et aux activités...
Elle ne fait rien de cela, elle se cache.
Que se passe-t-il pour que la petite fille refuse ainsi le monde extérieur ?
Kokoro refuse de parler...
Un livre poignant et sans concession sur les maltraitances en milieu scolaire, la solitude et les peurs adolescentes.
Entre réalisme et fantastique, un conte initiatique tout autant qu’une chronique sociale à lire dès 12 ans pour comprendre que nous ne sommes jamais seul face à la souffrance.
Vous aussi, passez à travers le miroir...
je rêve donc je suis...
Que les nuits sont longues et étranges lorsque le sommeil ne vient pas...
De retour dans le manoir de son enfance, Guerlain erre dans les couloirs une fois la nuit tombée tandis que son petit garçon, lui, dort du sommeil du juste.
La poésie s’installe alors, inquiétante, faite d’ombre et de silence tandis que l’homme se perd à la recherche du sommeil tout autant que de ses propres souvenirs d’enfance.
Un récit où la lumière se dispute à l’obscurité, une quête d’identité mais aussi surtout l’histoire d’un père et de son fils entre rêves et cauchemars qui laissera de beaux souvenirs de lecture une fois le livre (et les yeux !) refermé.
Parce que l’horreur n’est jamais une fin en soi...
Cherche Gouvernante...
Cherche gouvernante parlant français pour l’éducation à domicile d’un petit garçon à Winnicott Hall, Sussex.
Salaire raisonnable, en tout cas pour l’année 1933, cadre agréable avec le grand parc ainsi que le lac qui borde la demeure, ne pas craindre le temps brumeux, ni les rumeurs.
Cette annonce vous intéresse ? Alors ouvrez les pages du nouveau roman de Manchette et Niemiec pour vous laisser prendre par les mystères de cette vieille demeure.
A Winnicott, on se croit à l’abri du monde et de ses bouleversements, et ce malgré les nouvelles alarmantes d’Allemagne transmises par le poste de radio.
A Winnicott, on essaye d’ignorer au mieux ce qui nous dérange, ce que l’on ne peut pas expliquer vraiment...
Les grilles ne grincent-elles pas un peu trop, est-ce vraiment un homme que l’on voit se promener dans le parc lorsque personne d’autre ne regarde ?
Roman d’atmosphère, Winnicott vous emporte dans la délicatesse des sentiments humains et des espoirs ténus comme autant de moments suspendus dans le temps face au vide de l’Absence
J'écris donc je suis
Être jeune, être soi alors que la maladie est là, comment faire?
Alice n’a que 14 ans et quelque chose la ronge, et la dévore. Les mots qu’elle couche sur ses carnets lui font traverser le miroir de ses souffrances pour apprendre à se regarder en face.
Dans la solitude de l’hôpital, elle parle d’elle tout autant que des autres, du fossé qui se creuse lorsque l’on est malade et de tous les troubles qui peuvent posséder l’esprit humain.
Elle parle d’elle, peu importe sa jeunesse, témoignage unique et précieux d’un droit à la fragilité dans une société où tout un chacun se doit d’être parfait.
Dur, poétique, chuter du ciel et de toutes les attentes qu’elle avait envers soi-même, n’empêche pas Alice de se battre pour ses propres merveilles !