La Nouvelle-Orléans, son histoire, ses rues remplies de jazz et… ses ouragans !

L’inspectrice Amaia Salazar est en formation au FBI dans le cadre d’un échange international avec la Police Forale de Navarre.
Son enfance, forgée aux mythes et croyances basques, reviendra la hanter dans une enquête où plane l’ombre du vaudou et de toutes les légendes de la Nouvelle-Orléans.
Car alors que l’ouragan Katrina sévit au dehors, un tueur en série hante les rues de la ville…

Oppressant et intime tout à la fois, un thriller qui prend à la gorge tandis que se déchainent les forces de la nature et les cœurs en tourments

Il pleut, c'est un fait, alors parlons pluie ! 🌧☁☂

Tout commence avec cette crue de 1919 : des pluies diluviennes font déborder les rivières Perdido et Blackwater et bientôt, c'est la ville éponyme de Perdido, Alabama, elle-même qui se retrouve submergée par les flots. 🌧☁☂

Lorsque la plupart des habitants se sont réfugiés dans les hauteurs pour attendre patiemment la décrue, le le jeune et séduisant Oscar Caskey, fils de bonne famille, décide d'aller voir lui-même en canot l'étendue des dégâts. Il scelle alors l'avenir de sa ville comme l'avenir de ses proches... 🌧☁☂

Quelle est cette ombre dans le vieil hôtel inondé, qu'est-ce que Oscar va ramener avec lui qui va ainsi bouleverser le cours des événements ? 🌧☁☂

Blackwater - La Crue est le premier tome d'une saga familiale dans la chaleur moite du Vieux Sud des Etats-Unis. Mystères et faux-semblants s'écoulent comme les affluents d'une rivière portée par les secrets. A Perdido, le vrai pouvoir est entre les mains des femmes et les rancoeurs et inimitiés se payent toujours... 🌧☁☂

Roman-feuilleton en plusieurs tomes, Blackwater est comme le premier épisode d'une série : profondément addictif. heureusement, la suite arrive au plus vite ! 🌧☁☂

Quant à son auteur, Michael Mcdowell, il fut le scénariste du film Beetlejuice de Tim Buron mais également le modèle d'un certain Mr King, Stephen King. 🌧☁☂

Cora, jeune étudiante brésilienne résidant à Paris, et Julia sont l’opposé l’une de l’autre. Elles se croisent sans se voir, jusqu’à cette soirée étudiante où les deux jeunes femmes se parlent enfin.

Leur relation commence ainsi mais au fur et à mesure voilà que leurs chemins se séparent.

Puis, après plusieurs années sans nouvelles, un message de Julia revient tout bouleverser avec pour Cora, la force d’un boulet de canon.

L’occasion pour Julia et Cora de se retrouver pour un road-trip à deux à travers une région reculée du Brésil, vieux projet sans cesse repoussé qu’elles avaient eu adolescentes.

Entre amour, amitié et routes sans fin, un livre à propos des rêves insensés que l’on a lorsque l’on est jeune mais surtout un très beau roman à propos du Brésil et de ses paysages méconnu.

1781
En pleine guerre d’Indépendance américaine un jeune soldat, Nathan Prius écrit des articles qu’il vend lui-même sur le Front pour relater au mieux le quotidien de la guerre.
Mais Nathan est trahi par son éditeur Georges Ellis qui s’approprie tout le mérite de de l’écriture du jeune homme…

En conséquence, Nathan Prius décidera de créer son propre journal, le Liberty Sentinel afin s’affranchir de cet ennemi.
Un récit historique toujours aussi actuel porté par des dessins de Philippe Tarral et un scénario du regretté Patrice Ordas

Quand réflexions et chroniques de presse vont de pair avec réflexions et chroniques de guerre !

Dans le jargon des reporters de guerre, on se sentirait en territoire comanche quand « l’instinct dit : arrête la voiture et fais demi-tour ». Sauf que trop loin on n’a pas d’image et trop près, on n’est plus là pour en témoigner !

En pleine guerre yougoslave, la destruction d’un pont est prévue pour séparer les deux armées ennemies. Un journaliste de télévision espagnole envoyé sur place veut rester. Sa décision ? Ne pas s’en aller avant d’avoir TOUT filmé et ce malgré cette petite voix qui lui murmure de faire attention, qu’il est en territoire comanche désormais….

Découvrez un récit puissant sur la place du journalisme en temps de guerre et le prix payé pour chaque image rapportée. Arturo Perez-Reverte nous offre à travers une narration maîtrisée, toute l'horreur de la guerre et l'épuisement de ceux qui la subissent, à peine assez vivants pour savoir comment la raconter.