- EAN13
- 9782843047015
- ISBN
- 978-2-84304-701-5
- Éditeur
- Zulma
- Date de publication
- 09/04/2015
- Collection
- Littérature française
- Dimensions
- 19 x 12,5 x 1,4 cm
- Poids
- 214 g
- Fiches UNIMARC
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À travers deux courts romans qui explorent, comme en miroir, les mœurs anglaises et chinoises de l’époque coloniale, Eileen Chang nous offre une analyse subtile des ressorts amoureux
—
dans une société décadente, où séduction et sensualité, pudeur et obscénité répondent à des convenances d’une exquise hypocrisie.
Premier brûle-parfum. La jeune Wei-lung sollicite la protection d’une tante, riche mondaine sur le déclin, laquelle voit en Wei-lung la pr
omesse d’une nouvelle stratégie
…
Second brûle-parfum. Roger Empton, professeur à South China University,
épouse
une jeune fille idéale qui par grand mystère ignore tout du désir…
Délicatesse infinie et cruauté feutrée des sentiments, malentendus, emportements secrets, suavité évanescente des passions
et
de
leurs
ruses…
Ici
, l’enchantement romanesque a la force d’une promesse entre deux amants. Et c’est le cœu
r battant que nous entrons dans l’
univers
de ces
Deux brûle-parfums
.
Personnage éminemment romanesque, flamboyant de liberté rebelle, de beauté et d’intelligence, Eileen Chang est née en 1920 à Shanghai.
Initiée très tôt aux enchantements raffinés des chefs-d’œuvre de la littérature classique chinoise, elle
a commencé sa carrière d’écrivain à vingt ans, dans la période de la guerre sino-japonaise et de la Seconde Guerre mondiale.
À la fois portée par le souffle de liberté venu de l’Occident et pénétrée de culture traditionnelle, Eileen Chang déploie tout son art d’observatrice romanesque dans cette Chine en mutation.
Bientôt désenchantée, elle se détourne d’une gloire déjà considérable et, après un long séjour à Hongkong, s’exile en 1955 aux États-Unis. Elle s’éteint à Los Angeles en 1995.
Traduit du chinois par Emmanuelle Péchenart
—
dans une société décadente, où séduction et sensualité, pudeur et obscénité répondent à des convenances d’une exquise hypocrisie.
Premier brûle-parfum. La jeune Wei-lung sollicite la protection d’une tante, riche mondaine sur le déclin, laquelle voit en Wei-lung la pr
omesse d’une nouvelle stratégie
…
Second brûle-parfum. Roger Empton, professeur à South China University,
épouse
une jeune fille idéale qui par grand mystère ignore tout du désir…
Délicatesse infinie et cruauté feutrée des sentiments, malentendus, emportements secrets, suavité évanescente des passions
et
de
leurs
ruses…
Ici
, l’enchantement romanesque a la force d’une promesse entre deux amants. Et c’est le cœu
r battant que nous entrons dans l’
univers
de ces
Deux brûle-parfums
.
Personnage éminemment romanesque, flamboyant de liberté rebelle, de beauté et d’intelligence, Eileen Chang est née en 1920 à Shanghai.
Initiée très tôt aux enchantements raffinés des chefs-d’œuvre de la littérature classique chinoise, elle
a commencé sa carrière d’écrivain à vingt ans, dans la période de la guerre sino-japonaise et de la Seconde Guerre mondiale.
À la fois portée par le souffle de liberté venu de l’Occident et pénétrée de culture traditionnelle, Eileen Chang déploie tout son art d’observatrice romanesque dans cette Chine en mutation.
Bientôt désenchantée, elle se détourne d’une gloire déjà considérable et, après un long séjour à Hongkong, s’exile en 1955 aux États-Unis. Elle s’éteint à Los Angeles en 1995.
Traduit du chinois par Emmanuelle Péchenart
Commentaires des lecteurs
Eileen Chang est une écrivaine née en 1920 qui a commencé à écrire dès ses vingt ans et a fini sa vie en 1995 à Los Angeles. Deux brûle-parfums est écrit en 1943. Je ne suis point féru ni même ...
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